Nom:

Aucun

Prénom:

Meritxell Rokhsaana, appelée "Meri", "Meritxell"... Pour aller plus vite. [Meritxell = « Me-ri-tch-eill », pour la prononciation]

Age:

Les dames n'ont pas d'âge ~

Caractère:

Ce que l'on peut dire de Meritxell Rokhsaana, c'est qu'elle a un caractère tout particulier. Mais essayons de la définir à partir d'un mot servant à la résumer rapidement.

Indépendance. Meritxell est une indépendante, un être libre. Outre le fait que les démons ne soient pas du genre à suivre les règles, mis à part les leurs, et se montrent particulièrement individualistes quand ils le veulent, cette indépendance fait aussi partie de son caractère. Elle est très débrouillarde et aime faire les choses seule, afin d'être sûre qu'elles soient bien faites. Ses traits d’esprit et son aplomb lui assurent non seulement du succès, mais aussi la paix si elle le pense nécessaire. De toute manière elle est très dirigiste et prendra toujours le travail en main, laissant les autres en plan sans aucun remord. C'est sa façon d'être, elle fait les choses toute seule et se débrouille très bien ainsi.

Sensualité. Meritxell joue énormément avec la sensualité. Partisane de l‘hédonisme vulgaire, elle aime assouvir ses propres plaisirs, que ce soit pour la nourriture, la mode ou même les relations sexuelles. Elle aime toucher, sentir, goûter, voir, écouter. Cette sensualité va de paire avec ses capacités dans les arts et la danse, mais convient aussi pour d’autres capacités, qui ne sont pas pour déplaire aux hommes ou même toute personne un tant soit peu libertine. Tant qu‘elle peut assouvir ses envies, tout lui convient. De la même manière, cette sensualité se ressent dans son allure et son physique, ce qui n‘est pas pour déplaire, au contraire, et révèle son tempérament passionné. Elle est fière et déteste abandonner. Elle s’accroche, s’enflamme lorsque quelque chose l’intéresse ou qu’elle veut sortir victorieuse d’un débat. Elle ne peut pas aimer mais reste un être enflammé.
Hypnotisante, son goût pour la danse et la cuisine s’en ressent également. Lorsqu’elle danse, elle ondule, se meut avec grâce, charme et envoûte. Elle satisfait ses sens et ceux d’autrui. Difficile de lui résister, ceci lui vient de sa mère.

Manipulation. Sensuelle peut-être, mais loin d‘être bête et séductrice avant tout. Si elle aime se faire plaisir, elle fera plaisir aux autres dans un but personnel. Individualiste et égoïste, tout est bon à ses yeux pour parvenir à ses fins. Se fichant des sentiments et méprisant les êtres humains, son seul but est de récolter des âmes et elle ne craint pas l‘adversité et les obstacles. Ces deux choses, elle les détruit, les extermine sans pitié. Si elle obéit aux ordres de son contractant, il ne faut pas se croire plus fort qu’elle. Vous croyez la posséder, mais c‘est elle qui vous possède et vous contrôle, c‘est elle qui tire les ficelles sans que vous ne vous en rendiez compte. Démoniaque, elle tend sa toile et ses jeux de séduction lui apportent toujours une proie ou un résultat favorable. S’attaque à elle est ainsi une fort mauvaise idée.

Cruauté. C‘est ainsi qu‘on arrive à cet aspect non négligeable de sa personnalité. Meritxell Rokhsaana, malgré un nom si poétique et élégant, est tout, sauf sympathique. Elle peut tuer froidement, pervertir l‘âme d‘enfants, pousser à l‘inceste… Que d‘horreurs, mais en quoi cela devrait-il la travailler? L‘espèce humaine n‘est bonne qu‘à être envoyée en Enfer, elle est si facilement corruptible… Meri est un être qui n‘aime absolument rien, il y a quelque chose de vicieux dans son regard, ses sourires… Sournoise et cruelle, elle ne recule devant rien et n‘a pas froid aux yeux.

Autorité. Meritxell sait ce qu‘elle veut, toujours. Et ne se laisse pas dominer par les autres. Elle n‘est docile qu‘avec son contractant, autrement c‘est une sauvage qui ajuste son comportement en fonction de la situation présente. Ce n‘est pas elle qui vous obéit, quoiqu‘il advienne, vous découvrirez à un moment ou à un autre que depuis le début, c‘est vous qui lui obéissez. Même à son contractant, elle ose ordonner lorsqu‘elle sent que celui-ci ne suit pas le chemin vers l‘Enfer. Si on tente de la dominer, elle déjouera la manœuvre aussi vite et montrera alors sa force morale comme physique.

Secret. Meritxell est un être impénétrable. Même son regard froid ne dévoile pas sa pensée. Ce n‘est qu‘après coup que sa victime se rend compte du piège dans lequel elle est tombée. En ça, ce démon est effrayant, en quelque sorte. Seuls ses actes permettent de la juger. Autrement, elle montre son pouvoir sur chacun en sachant la nature et les secrets de sa victime sans que ce soit pour autant réciproque. Seul un ange pouvant lire dans ses pensées aura une chance de deviner ce qu‘elle veut, si il arrive à déjouer le labyrinthe qu‘est son esprit. Même son propre père ne saurait dire ce qu‘elle a en tête, pourtant ces deux-là se ressemblent sur bons nombres de points.

Physique:

Bien qu’elle soit un démon, Meri tient beaucoup à son apparence humaine et y accorde un grand soin. De petite taille, avec sa peau très blanche et transparente, ses longs cheveux auburns aux belles anglaises retombant jusqu’au milieu de son dos, elle a des airs de poupée que l’on aurait envie de protéger. De petites mains fines et aussi délicates que sa peau, de belles et longues jambes aux muscles allongés, une taille fine, une belle poitrine bien ronde et des hanches généreuses formant une parfaite silhouette en huit, l’ensemble est plus qu’attirant. Diablement attirant.
Son visage garde ce côté délicat, avec de beaux yeux en amande légèrement tombants, d’un orange brûlant comme les flammes de l’Enfer, un joli nez un peu droit, des pommettes à peine marquées mettant en valeur l’ovale de son visage, et une bouche délicieusement rosée et charnue. Un visage aux sourires gracieux, mis un peu plus en valeur par un port de tête haut et élégant. De manière générale, ses gestes sont empreints d’une grâce que sa mère lui a transmis et enseigné. Pour autant, cette apparence attirante cache un être démoniaque, une comédienne toujours masquée pour arriver à ses fins, et qui ne se révèle qu’à la fin du dernier acte, diablesse accomplie et merveilleuse, envoûtant par son timbre de voix chaud et un peu grave, sa gestuelle élégante et ses airs de poupée.

Et parce que sa mère lui a enseigné le bon goût, Meri est toujours tirée à quatre épingles. Pour ses tenues, elle s’inspire souvent des années 60 et 70, mais aussi du XIXè siècle, osant porter de la dentelle comme des talons de 12 bons centimètres, des jupes courtes et des motifs floraux ou des rayures. Elle travaille son air angélique au maximum, même si elle peut adopter un style élégant, sportif ou plus rock. Ses beaux cheveux feraient bien le bonheur des coiffeurs et elle se plaît à les coiffer comme elle le souhaite, relevés en chignon ou lissés, peu importe. Attendez-vous à toujours la voir impeccable jusqu’au bout des ongles. En ce qui concerne le maquillage, elle se fait généralement un trait d’eye-liner et passe un peu de fard à paupière blanc, mais peut tout aussi bien se faire un regard fumé. Depuis que ce type de maquillage existe, elle est également adepte du vernis à ongles, mettant un rouge diva classique ou osant des couleurs plus étonnantes comme du vert, du bleu ou du même violet et du gris.

Sous sa forme démoniaque, elle se retrouve avec des motifs semblables à de la dentelle noir sur la partie gauche du visage, un body semblable à de la dentelle ne cachant que sa poitrine et son ventre, laissant le dos et les bras nus, ce qui laisse visible de grands serpents enroulés autour de ses bras. Une sorte de minishort comme fait de dentelle noire cache le strict minimum et des chaussures à talons légères, aux lacets remontant jusque sous les genoux, complètent le tout. Ses cheveux retombent en une large tresse sur son épaule gauche et des rubans noirs les décors. Mais cette tenue n’est visible que lorsqu’un contractant l’invoque, si elle ne s‘adresse pas à lui par le biais d‘un serpent. Autrement, la seule marque qui prouve son origine est un serpent dévorant une pomme, à l’intérieur de son poignet droit. Le serpent, vous l’aurez comprit, est son symbole et son animal fétiche, celui qui a poussé au péché originel.

Race:

Démon

Pouvoir au choix:

Le contrôle du feu, comme son papounet ~ Autrement, toujours comme le pater, elle vole les âmes des humains en établissant un contrat avec eux, afin de les aider à achever leur but. Cependant elle a conservé la capacité de séduction de sa mère, chose utile pour ses affaires personnelles. Elle peut également corrompre les humains, en bon démon qu'elle est.

Histoire:

Phédra - La Chute

Tout commença à l’aube de la Grèce antique. Une jeune prêtresse malade, Phédra, rendit l’âme à 20 ans. Parce qu’elle avait été élevée dans le temple et s’était montrée pieuse tout au long de sa courte existence, elle devint ange. Humaine, sa beauté était déjà reconnue et certains regrettaient son statut de prêtresse, cette beauté ne se perdit pas dans la mort, bien au contraire. Elle gagna en lumière, en Grâce. Mais avait l’interdiction d’aimer. Ce fut dans cet état que Letha connu enfin l’enfer, outre l’enfer de la maladie qui l’avait rongé et emporté en quelques semaines. Cet enfer se présenta sous la forme de Miko, incube et pêcheur des côtes athéniennes de son vivant. Phédra résista longtemps, ne l’approcha jamais. A vrai dire, ce fut lui qui s’approcha en premier, sachant chacun ce qu’était l’autre, il se joua d’elle par amusement et, malgré ses efforts, parvint à la corrompre sans même avoir à la toucher. Chargée avec d’autres anges d’éliminer toute trace démoniaque de la région, elle eut le malheur de protéger Miko au lieu de laisser un camarade l’éliminer.
L’ombre se fit, et un hurlement perçant et quasi-inhumain sorti des entrailles de Phédra. Elle, qui était autrefois un soleil éclatant devint un soleil noir. Ses ailes brûlèrent, elle déchut et devint un démon. Pour avoir aimé, même si c’était un incube sournois. Un démon, de la famille des voleurs d’âme, de ceux qui scellent des contrats avec les hommes pour les aider à mener leur vengeance, leur donner la vie éternelle ou autre, en échange de leur âme, ce fut un démon de ce type qui la récupéra. Un sourire en coin restait plaqué sur son visage, mais la chose que Phédra constata en premier, c’était ce regard. Contrairement à celui de Miko, qui était capable d’éveiller les passions enfouis en vous, ce regard-là était celui d’un être qui n’aimait absolument rien, un regard sanglant, à la froideur brûlante et impénétrable. Et pourtant si beau dans sa cruauté. Des cheveux mi-longs d’un noir de jais, une peau très blanche, ce regard glacial et pourtant enflammé, ce sourire en coin mesquin et séducteur en même temps. Cette stature d’apparence humaine, mais qui laissait apparaître une élégance et une sensualité poussant forcément au vice. Ce démon, Dalh, allait conduire Phédra à Lilith, la reine des Succubes. Et il allait veiller sur elle.
Une porte infernale s’ouvrit, et Phédra y fut emportée, le regard vide. Embrassée par Lilith, elle reçut son statut de succube, et Dalh lui apprit - si les moqueries et la violence étaient une forme de pédagogie - à être un bon succube et à corrompre les âmes. Souvent, il la raillait sur son prénom. Phédra, le soleil. Quel soleil elle était devenue! Un soleil noir, un faux soleil envoûtant les hommes pour les corrompre et leur voler leur vie. Voilà ce qu’elle était devenue.

Dalh - Inferno e Vertigo

Dalh était un démon, un vrai. Letha, sa mère, était un démon né des flammes. La lune était pleine lorsqu’elle était apparue dans le cimetière, sa silhouette blanche et ses cheveux semblables au mercure en fusion brillants sous la lumière mélancolique de la lune. Deux yeux, d’un bleu pur et glacé, comme deux lunes, scintillaient dans l’ombre. Apparaissant nue, dans toute la beauté de ses courbes sensuelles, elle laissa les morts apparaîtrent. Chacun d’eux se releva et regarda le beau démon qui les avait appelé de leur regard vide et mort. Leur apparence correspondait au degré de putréfaction de leur corps, mais Letha n’y accordait pas d’importance. Inclinant délicatement la tête dans un geste d’approbation, elle leur donna l’autorisation silencieuse de la toucher, et s’allongea lentement par terre. Ces cadavres, hommes, femmes ou même enfants, se mouvaient tous pour la toucher et la savourer.
Sous un clair de lune irréel se déroula une orgie sordide. Avant l’aube, Letha, couverte de liquides sexuels divers, caressa un ventre déjà gros, puis accoucha de Dalh. Leurs regards se croisèrent. Les yeux de l’enfant étaient enflammés comme l’enfer, et paradoxalement aussi froids que ceux de sa mère. Les morts s’étaient évanouis dans la nuit, Letha en fit de même au point du jour.
Dalh se trouva manipuler le feu à la perfection, et si il séduisait les humains et les corrompait à sa guise, sa capacité de destruction était étonnante. Il n’aimait rien, ne pouvait rien aimer et si son contractant venait à l’aimer, alors il se jouait de lui autant que possible, l’entraînant dans ses jeux et ses manipulations, le faisait se perdre et lui prenait son âme. Personne ne devait aimer un tel démon. Sa beauté sombre, à la différence de la grâce lunaire de sa mère, était tout aussi attirante. Et il savait que cette Phédra avait été captivée par cette beauté, plus que par celle de Miko, l’incube qui avait entraîné sa chute. Il la surveillait. Si au début elle avait rechigné à la tâche, elle était devenue un bon succube rapidement, et ce sans avoir à modifier son physique comme le faisait certains. De toute manière Dalh le lui aurait interdit, pour le plaisir de l’humiliation. Mais lui-même admettait que son physique, celui qu’elle avait lorsqu’elle était humaine, était attrayant. Même pour un démon comme lui.
Alors que Remus et Romulus étaient sauvés par la Louve, Dalh choisi d’avoir un enfant de Phédra. Elle, qui était devenue un parfait succube après sa chute, et lui, qui résultait d’un accouplement nécrophile et était un maître du feu et de la corruption. Ensemble, ils créeraient un être digne de ce nom. Une nuit, plutôt que de partir en chasse, Dalh emporta Phédra sous des pommiers, raillerie à Dieu et au péché originel. La pénétrant sans vergogne, il recommença plusieurs fois, assurant ainsi son pouvoir sur elle. L’ange déchu obéissait à Lilith en théorie, mais en pratique elle lui appartenait, et il affirmait son ascendant sur elle pour l’éternité. Il n’y avait aucun amour là-dedans, simplement un sentiment de domination et de puissance. A l’aube, des flammes infernales venues du ventre de Phédra laissèrent apparaître l’enfant. Une petite fille. Un sourire narquois se dessina sur le visage de son père. Sa mère était épuisée et disparue pour aspirer la vie de quelque homme, afin de se remettre en état. Elle revint à midi, au milieu des pommiers. Le père éclata de rire à ce moment-là et lui montra l’enfant jouant avec un serpent. Vraiment, cet enfant devait avoir hérité de son cynisme. Les pommes et le serpent, quelle ironie! Phédra s’approcha de la petite fille, dont les yeux avaient pris une teinte orange flamboyante, tels des flammes. Ses cheveux étaient auburns. Sa peau très blanche et transparente. L’enfant la reconnue et elle la nomma. Meritxell, pour le midi et l’image de l’enfant jouant avec le serpent au milieu des pommes. Rokhsaana, pour l’aube, moment de sa naissance. Des noms lumineux et faussement angéliques, comme le visage rond de l’enfant devant eux. Dalh en était sûr, cette enfant serait comme lui.

Meritxell Rokhsaana - La Commedia

De sa mère, elle apprit la danse, le chant, la musique, la grâce. De son père, elle apprit la manipulation, la destruction, la séduction. Meritxell grandit rapidement, et devint comme Dalh l’avait espéré. Bien qu’aussi petite que sa mère, elle était résistante et persistante dans ce qu’elle faisait. Elle était belle et dégageait une étonnante sensualité. Pourtant elle se moquait des autres, humains ou démons, peu lui importait. C’était elle qui choisissait, elle faisait tout à sa guise.
Elle entraînait les hommes et leur volait leur âme, enflammait les passions les plus cachées, révélait aux humains le chemin vers la corruption et l’enfer. Car l’humain était si facilement corruptible, malgré tout ses efforts de résistance par la religion et la foi. Elle avait obtenu plus des pouvoirs de son père que ceux de sa mère. Elle était une voleuse d’âmes. Les hommes pouvaient être heureux par le simple fait qu’elle pose son regard sur eux. Elle envoûtait. Elle détruisait. Elle aidait à venger. Voilà ce qu’elle était. Une comédienne, une manipulatrice, une joueuse établissant des contrats pour grossir l’Enfer. Le monde n’était pour elle qu’une immense comédie, et elle avançait et s’adaptait aux évolutions sans mal. Posait sur le monde et les hommes un regard à la brûlante froideur, le regard d’un être n’aimant absolument rien. Le même regard que son père.
Elle ne se souvient pas de tous les contrats qu’elle a pu avoir, mais l’un deux, très révélateur de sa personnalité, l’a particulièrement marqué. Au milieu du XIXè siècle, elle avait été appelée et était devenue la dame de compagnie de la fille d’un lord anglais veuf. S’occupant de son éducation, elle obéissait au lord, qui souhaitait se venger de la perte de son statut par une famille adverse. Tout ce cirque pour une simple affaire de commerce amusait grandement Meritxell Rokhsaana, qui accepta le contrat après en avoir édicté la seule clause qui le composait: ton âme sera mienne une fois la vengeance accomplie. Pour autant, elle en profita pour séduire l’homme, pervers immonde refoulant ses tendances pédophiles, et devint même sa "Blanche Neige". Meritxell alla trouver un enfant dans un orphelinat. L’enfant au regard le plus dégoûtant et le plus perverti possible. Après trois ans de recherches, elle décrocha enfin le gros lot. Un air faussement angélique et un regard glacé, cet enfant là était déjà corrompu. Si elle jouait bien son coup, elle pouvait avoir deux âmes en un coup. Meri a toujours aimé les défis. Préparant l’enfant soigneusement après l’avoir racheté, elle obtint de lui ce qu’elle voulait à sa guise. Les enfants étaient facilement manipulables et celui-ci semblait déjà bien atteint. Un soir, alors que ce lord abusait une nouvelle fois d’elle sans savoir qu’il était mené par le bout du nez, une silhouette en kimono rouge fleuri, comme c’était la mode, laissa apparaître une jambe, avant de se dévoiler entièrement. L’enfant acheté allait servir à la chute de cet homme. S’écartant un peu, Meri laissa un sourire en coin se dessiner, le même que celui de son père. Cet idiot de lord avait au moins remarqué le regard dégoûtant de l’enfant, mais restait figé devant lui. Meritxell, elle, s’avança vers le jeune garçon et lui ôta son kimono, dévoilant ainsi une peau blanche et un corps encore délicat. Léchant ses doigts avec sensualité, elle entreprit de le toucher et le caresser, puis l’approcha du lord. La suite est évidente, Meritxell se félicita du spectacle, qui devint régulier. Les deux âmes étaient corrompues à souhait. Une fois sa vengeance accomplie, le lord mourut, mais la dernière chose qu’il vit fut le sourire narquois de Meri et son air triomphale. Il comprit qu’il avait été dupé depuis le début. Mais il était déjà bien trop tard.
Voilà un aperçut de ce dont est capable Meritxell Rokhsaana. Son éternelle jeunesse l’a porté jusqu’à notre époque avec succès. La voleuse d’âme, dans toute son indépendance, a changé à maintes reprises de pays. Pour la première fois depuis 200 ans, elle retourne au Japon. Mais 200 ans n’est rien lorsque l’on a l’éternité devant nous. Son dernier contrat s’est achevé avec succès, il est temps pour elle de se trouver une nouvelle proie.

Prénom:

Roxane

Age:

Bientôt 18 ans.

Découverte du forum:

Via un top site ~

Avis sur le forum:

Joli design! *o* (je viens enfin sur un forum RP de ce type, d'habitude je suis sur du Reborn, et tout...)

Présence /10:

6/10 ou 7/10, tout dépendra des cours et de mes absences pour cause de vacances. ^^