Between heaven and earth.
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Between heaven and earth.

Between heaven and earth.
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-45%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go /1 To
1099.99 € 1999.99 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 Persephonia M. Caïn, votre cauchemard.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Persephonia M. Caïn
Vampire
Vampire
Persephonia M. Caïn

Messages : 13
Date d'inscription : 17/08/2010

Persephonia M. Caïn, votre cauchemard.  Vide
MessageSujet: Persephonia M. Caïn, votre cauchemard.    Persephonia M. Caïn, votre cauchemard.  EmptyMar 17 Aoû - 16:26


Identité

Nom:

Aucun mais utilisons Caïn

Prénom:

Persephonia Marilyne

Age:

Je suis vieille, bien vieille. J'ai 6000 ans. Je suis donc née quatorze ans après la création d'Adam et Eve.

Sexualité:

Bisexuelle



Basique

Caractère:

Ma Psychologie ? Voilà qui est fort drôle... J'espère pour vous que vous ne me voyiez pas comme une petite sainte car vous risqueriez fort d'être déçut. Je ne suis pas gentille et vous allez finir par le savoir. Mes rêves visent à faire le mal. Il n'y a que pour moi que je rêve le bien. Malheureusement pour vous mon bien est votre mal. Cruel, n'est ce pas ?

Petite j'aimais jouer. Aujourd'hui j'aime toujours sa. Mais le temps qui passe emmène les enfants et changent les jeux... Mon amusement aujourd'hui est de vous voir souffrir, ramper à mes pieds. Qu'êtes vous de toute façon, sinon un insecte sur mon passage ? Quoique je me délecte de vous faire du mal, je n'en reste pas moins humaine, si l'on peut dire. Disons que j'épargne les vampires ainsi que ceux qui méritent mon attention. Les autres... tant pis pour vous. Mon âme n'est pas bonne, pour la charité vous vous trompez de porte. Mais il arrive par d'incompréhensible miracle que je sois parfois gentille. Père dit que j'ai tiré de son caractère, il n'a peut être pas tord.

Ma non-sympathie n'est dut à rien. Ou a tout... Disons que je pense qu'il n'existe personne ici bas assez digne de moi, hormis mes parents... Et peut être ma moitié, si j'arrive un jour à la trouver, ce dont je doute fort puisque je n'imagine pas qu'un homme puis me supporter. Bref, je suis narcissique. Et hautaine aussi. Oui je m'aime et je me prends au sérieux mais... Je suis parfaite, voyez-vous ? Plus parfaite que la blanche colombe, que l'agneau naissant ou que la délicate rose à peine éclose.

De ce que vous pensez être mes défauts, la luxure doit être le plus poussée. J'aime la sexualité mais... Pas exactement comme vous l'imaginez. J'aime celle qui fait du mal à mon partenaires. Faire souffrir est ce que je préfère. Là est ce que je cherche dans un rapport sexuel. La douceur ? Mon dieu, non ! Me prendriez-vous pour un bisounours ?

Bref en clair ? Je suis vile, méchante, machiavélique, sal+pe, tortionnaire, tyran... Dois-je continuer la liste ? Je n'ai que des défauts... Quoique... Je suis fidèle ! Un bon point ? Oui et non... Je suis fidèle aux ténèbres. Et oui, c'est beaucoup moins drôle tout à coup, hein ? Ben mes cocos, va falloir vous habituer... Le pire pour vous... C'est que je compte continuer.

Physique:

Si l'un de vous ose me surnommer Blanche Neige, je me chargerai de le châtier par moi-même. Cette personne n'aurait pas vraiment tord, mais je ne permettrais pas que l'on me confonde avec une stupide demoiselle issue de l'imagination malade d'un vieil homme devenus fou. Cette histoire est à dormir debout... Mais là n'est pas la question.

Je suis belle. Disons que j'ai le charme commun à tout vampires et que mon sang totalement pur renforce encore plus mes capacités. Après tout, je suis la première demoiselle de sang pur née d'une union entre vampire. Et pour cause, je suis l'unique enfant de Caïn. Enfin, l'unique qu'il eu par une relation sexuelle avec une femme. C'est à dire Lilith.

Mes cheveux sont châtains foncés et tirent vers le noir ébène, selon le degré de soleil qui les éclaire. Ils tombent en cascade dans mon dos et paraissent terriblement doux au toucher. Ils le sont d'ailleurs, et j'aime à m'occuper d'eux. Leur longueur peu négligeable me permet de tester mille et une coiffure pour mon plus grand plaisir, mais c'est peut être les chignons que j'aime le plus.

Mon teint est de porcelaine, si bien que l'on me croirai être une poupée décorant une vitrine. Mais je suis loin d'en avoir la sagesse, vous vous en rendrez compte bien assez tôt je crois. J'ai la peau pâle donc, comme les êtres de ma race et je ne peu brunir au soleil. D'ailleurs je le crains. Pour nous autres vampire, il est redoutable.

Sous mon front brille deux yeux d'un bleu pur, de la couleur du ciel ou de l'océan parfois. Ils brillent d'un éclat malicieux. Si j'étais plus gentille, je vous laisserait les admirer pour vous faire plaisir. Mais là je ne vous laisse les regarder que pour attiser mon égo. Ne vous attendez pas à de la gentillesse de ma part envers vous, à moins que vous en valiez la peine, et encore. Mes pupilles donnent l'impression d'être illuminé constamment par des centaines d'étoiles.

J'ai le nez fin et délicat. Mais, plus dangereux pour vous autres, c'est mon odorat oh combien développé. Il me sert à savoir exactement de quel groupe sanguin vous êtes et malheur à vous si vous entrez dans mes critères de prédilections. Les vampires sont rapide, si rapide... Et mon rang me permet de quémander à n'importe quel sujet de vous poursuivre. Les Caînites me respecte car je suis non seulement vieille mais également parce que je suis la véritable fille du patriarche. Effrayant, non ?

Pour poursuivre cette étude physique de haut en bas, il est normal d'entamer maintenant la question de mes lèvres, délicates et gourmandes qui surplombent mon menton sur lequel viens souvent couler un mince filet de sang. Pulpeuses et bien rouge, j'en suis très fière et c'est peut être ce que je préfère physiquement chez moi, quoique j'apprécie fort mes yeux.

Viens ensuite mon cou. Nosferatu vous aimeriez y gouter mais ne le pouvez. Vous me devez le respect et vous le savez... Vous ne pouvez donc me voler du sang. Si vous avez un brin d'importance à mes yeux, vous y gouterez peut être mais rien n'est moins pur. Mon sang est trop noble pour que je le gaspille.

Si l'on en suis l'ordre naturel des choses, je dois entamer la question de mes épaules mais je crois qu'il n'y a définitivement rien à dire la dessus. J'ai la chance de ne pas les avoir carré puisque mon corps est très féminin. Je ne m'appelle pas Stéphanie de Monaco, moi. Cette dame n'a pas la morphologie facile, je la plaindrai presque. j'ai bien dit presque.

Ce qui va grandement intéresser les hommes et quelques femmes, mais manque de chance pour elle je ne suis point lesbienne ou bisexuelle, arrive. Car enfin voilà le moment de parler de ma poitrine.Généreuse, enfin ni trop grosse ni trop petite, elle est bien dessinée. Et naturelle, avec sa! Mes seins tiennent droit. Chance ? Non. Je dirai plutôt que la nature m'a pris sous son aile. Et que mes parents étaient fort loin d'être laids. Ma mère était née des mains divine et mon père naquit de deux être créé par le Seigneur Dieu. Comment ne pas être parfait, dans ces conditions ?

Parlons maintenant de mon ventre et ma taille. Lui est plat, elle est fine. De beaux abdominaux féminins sont visibles. pourtant, je n'ai jamais fait de sport pour les stimuler. Je ne fait que de la course pour m'emparer de mes victimes et encore... La tâche est si facile que je cours peu et mon sport est donc de courte durée. En opposition à mon ventre il y a mon dos mais que dire ? Je n'ai pas de soucis. Pas de scoliose. rien.

Mes fesses viennent ensuite et ne rêvez pas, je ne dirai rien en ce qui concerne l'avant... Quoique, peut être... Je vais voir. J'ai de jolies fesses bien ronde est ferme. Personnellement je les aime beaucoup... Mais il est vrai qu'il n'y a rien chez moi que je n'aime pas, donc... Galbé, elles ne sont pas grosses. Je fait attention à ma ligne... Mais je ne peux grossir alors mon attention n'est pas bien grande pour garder cette taille de guêpe.

Mes jambes sont longues et fuselés. Digne d'un mannequin ? Que neni ! On devrait plutôt dire des mannequin que leurs jambes sont dignes des miennes... Mais il est vrai que ce titre ne serait porté par aucune mannequin car aucune ne le mériterait. Mes jambes sont parfaite, même pâle et pour rien au monde je ne voudrais les voir brunir.

J'ai les pieds de taille normale. Eux aussi sont pâle. J'aime leur enfiler de jolies escarpins. J'aime beaucoup les chaussures en fait et j'en possède d'innombrables paires. Dans un manoir qui m'appartient, j'ai même une pièce pour les collectionner. Pensez donc, certaines datent d'il y a 300 ans d'autres d'il y a 1000 ans. D'un point de vue archéologique je possède un vrai trésor.

Je pense que cela suffira maintenant que tout a été passé en détail, n'est ce pas ? Quoique non, cela ne suffit pas. Nous n'avons pas encore dit que j'étais grande. Je mesure très exactement un mètre quatre-vingt-sept. Et je ne pèse que soixante trois kilos, ce qui est fort bien au vue de ma taille.

Maintenant que nous avons passé en revue mon physique, nous allons voir un peu ma tenue vestimentaire. J'aime porter des robes d'allures anciennes. Mes préférés sont les majestueuses robe à crinoline comme en portait l'Impératrice Élisabeth ou encore la Reine Marie-Antoinette de France. Je n'aime pas les pantalon. Habituellement ma tenue est élégante, classe. Je n'hésite pas à me vêtir avec une robe ancienne au pensionnat. Après tout, ici, tout le monde sait qu'il existe des vampires.

Mon allure maintenant et nous en aurons terminé avec mon physique. Ma démarche est assurée et mes gestes sont gracieux, tout comme mes pas. J'aime me distinguer par ma tenue, mes manières raffinés. Mon parler est élégant lui aussi, je ne me permettrais jamais de dire un flot d'injures. J'ai le port d'une reine et je marche la tête haute. Disons que sur les bonnes manières, j'ai été bien éduquée. Je connais toute les règles de savoir vivre.

Deux ou trois petites choses encore : Je me maquille. Légèrement, mais oui, je donne un peu de couleur à mon visage pour sublimer ma beauté, faire ressortir mes yeux... Cela dit, cela n'arrive pas fréquemment non plus. C'est surtout pour les sorties ou rencontres importantes, lorsqu'il faut absolument faire bonne figure. Mais mon visage est si beau au naturel que je n'ai pas véritablement besoin d'artifices.



Surnaturelle

Race:

Vampire

Pouvoir au choix:

Transformation en Brume Plus quelques capacités que mon mère m'a donné en me purifiant. Cela dit, je les contrôle assez mal, puisqu'ils ne sont pas vraiment miens.


Le conte

Histoire:

Je suis née il y a bien longtemps dans les terres Nod. Pour comprendre mon histoire, il va falloir commencer par parler de ce qu'a vécut mon père avant de me donner la vie. Retournons en arrière de presque 6000 ans je vous pris... Et même si vous y voyez un inconvénients, sachez que je ne vous laisse pas le choix...

Mon père est né dans l'Eden, fils ainé d'Adam et Eve. Il choisit de travailler la terre alors que son cadet, Abel, préféra devenir berger. Mais un jour, les deux jeunes hommes firent une offrande à dieu. Abel offrit sa première bête alors que mon père offrit ses produits. Dieu accepta l'offrande d'Abel et refusa celle de Caïn qui à cette nouvelle entra dans une grande colère. Le créateur voulu le calmer mais n'y parvient pas et mon père assassinat son frère dans un champs, se condamnant ainsi à l'exil de l'Eden.

C'est en Terre Nod que mon père trouva refuge auprès de Lilith, qui lui enseignât tout ce qu'elle savait. Caïn resta chez elle longtemps avant de la quitter, ayant appris tout ce que ma mère pouvait lui apprendre. L'histoire nous dira que mon père sera nommé roi d'une Ville, qu'il mordra trois hommes, les transformant en vampire pour créer la seconde génération qui elle même engendra la troisième qui finit par assassiner la seconde. Le déluge aurait lui aussi emporté pas mal de gens, mais trop peu de vampires. Mon père prit alors le parti de fuir, certain que le déluge était une punition à ses actes de morsures. Mais vous savez quoi ? Cela ne nous intéresse plus... Puisqu'au moment du déluge, j'étais née et bien née.

Caïn quitta donc ma mère Lilith après avoir appris maintes choses. Seulement, il ignorait qu'une enfant allait naquir. Ma mère le lui appris quelques mois plus tard. Lorsqu'elle sentit ses forces s'affaiblir et une sensation de perdre du sang. Lilith envoya quérir mon père, qui la rejoint. La naissance de la première vampire née d'une union... Tout vampire se demanda alors ce qui pouvait bien se passer. Un médecin nota que ma mère perdait réellement du sang. Et l'explication fut bien vite trouvé: c'est moi qui m'en nourrissait. C'est ainsi que l'on su que j'étais bel et bien une vampire et par conséquent bel et bien l'enfant de Caïn.

Ma mère ne mis pas neuf mois comme une mortelle pour enfanter de moi. J'arriva plus vite et aujourd'hui encore, on ne comprend pas vraiment pourquoi. Reste que je suis née au bout de sept mois et trois semaines de grossesse. Sitôt née, mon père voulu me purifier. J'étais son enfant, mais mon sang ne pouvait être pur puisque j'étais le résultat de l'union d'un démon succubique et d'un vampire. Seulement, Caïn voulait me voir être complétement Vampire, du sang le plus pur qui soit. C'est ainsi qu'il entreprit un dangereux procédé pour ôter de moi la part démoniaque de ma mère. Il suça mon sang par période, toute les deux heures, le remplaçant par du sien. Au bout d'une semaine de ce procédé, au cours duquel je ne frôla pas l'anémie comme mon père et ma mère le crainrent, il était certain que mon sang était entièrement celui de mon père. Mais restait encore une dure partie... Celle de changer le fonctionnement de mon corps afin qu'il produise un sang pur.

Caïn ne révéla jamais le procédé qu'il utilisa. Mais il affirma avoir réussi la manœuvre. A l'âge d'un mois j'étais donc considéré comme parfaitement pure. J'avais le sang de Caïn en moi. Pas par naissance comme une fille et son père, non... Il s'agissait bien de SON sang. Il me l'avait donné. Ma mère s'attrista un peu de n'avoir plus aucun lien, sinon filial, avec moi. Mais elle l'accepta néanmoins et n'en fut pas une mauvaise mère pour autant.

J'avais deux mois lorsque mon père repartit, il était encore Roi à l'époque, mais le changement arrivait à grand pas. Je suis née après la seconde génération et les évènements se sont assez vite déroulés après ma naissance. Par chance, ni mère, ni père, ni moi-même ne périrent du déluge... Mais au fond... Qu'était-ce, sinon de l'eau ? Nous vampires étions immortel face à cela. ou presque puisque néanmoins quelques faibles vampires y trouvèrent la mort. Mais le nombre fut véritablement ridicule.

Lorsque j'eus cinq ans, ma mère commençât à m'enseigner tout son savoir comme elle l'avait fait pour Caïn. Lilith s'étonna un peu de mes capacités. J'apprenais vite et ma mémoire était excellente, de plus je comprenais les explications suffisamment vite pour que la tâche de ma mère fut facilité. Bientôt, elle n'eut plus rien à m'enseigner. J'avais alors quinze ans. Après quoi, je grandis chez mon père.

Je rejoint Caïn alors que j'étais âgée de quinze ans, après avoir appris de ma mère tout ce qu'elle avait à m'enseigner. En prime, Lilith m'avait enseigné l'art de la séduction. Père m'accueillit à bras ouvert et ne tarda pas à m'apprendre tout ce que lui devait m'apprendre, quoiqu'il m'eut appris à chasser alors que je n'avais que cinq ans, lors de ses visites. Il venait spécialement pour cela en fait. Comment m'étais-je nourris jusque là ? Mère charmait des hommes pour passer d'agréables moments avec eux. Mais telle une menthe religieuse, ma génitrice me présentait la victime, restant près de moi pour m'aider à me nourrir. Que faisions nous ensuite ? Ma mère tuait tout simplement le repas. J'étais beaucoup trop petite pour tuer moi-même en buvant tout le sang de ces grandes personnes. Six litres, c'est quand même beaucoup.

Bref, j'avais donc quinze ans et Caïn se chargea à son tour de m'instruire. Mais il me fallait autre chose. Apprendre, c'est bien, mais je me lassais des paysages et des visites toujours trop ennuyantes. Car père était beaucoup demandé et recevait donc beaucoup... M'offrant à chaque nouvelle visite le cadeau de nouveaux compliments et courbettes. Ce que ne feraient pas les vampires, pour plaire à leur créateur... C'était presque pitoyable.

On ne sait pas exactement quand est-ce que je suis devenue mauvaise. Moi je me poserait plutôt la question de savoir si j'avais été une brave petite, ce donc je doute. Je pense avoir toujours été comme je suis, et n'avoir pas changé. Mais je me trompe peut être. Ma mère surtout m'affirme souvent que j'étais une petite adorable. Que c'est en grandissant chez mon père que j'avais changé. Peut être a t elle raison... Mon géniteur ne s'est jamais exprimé sur le sujet.

Les premières années de ma vie, ou plutôt non-vie furent d'un mortel ennuie, je vous l'avoue. J'effrayais beaucoup par mon attitude et j'étais un brin fasciné par la souffrance d'autrui. Oh juste un brin, ne fuyez pas... Non, j'aimais réellement faire souffrir mes victimes. Tant et si bien que l'on me compara parfois à Lamia, qui dévorait sans regrets des enfants innocents endormis. A la différence que je ne m'attaquais pas aux enfants... Et que j'évitais les innocents. Vraiment. Je préférais me nourrir du sang de criminels... NON ce n'est pas de la gentillesse c'est... je ne sais pas... Je ne saurai l'expliquer. Bref, il n'était donc pas rare que je m'introduise la nuit dans les lieux où pourrissaient de mauvaises personnes condamnés à mourir. La nuit passait alors comme un rituel... Je séduisait d'abord ma victime, m'offrant le luxe d'une relation sexuelle dans laquelle le condamné souffrait le martyr. Et j'y prenait du plaisir, en plus... Par la suite ? Je jouait jusqu'au petit matin... Toute la nuit, mon repas souffrait. Je lui prenait du sang, lui coupait tout un doigts avec mes canines, lentement... Attachés, ils ne pouvaient rien faire. Ni crier, puisque je leur ôtait cette possibilité par un bâillon. Il arriva que je castre mes amants... Mais pas de façon rapide, non... Mon but étant de les faire souffrir mes actes étaient volontairement lent... Ils subissaient toute sorte de mutilation et humiliation... Les heures les plus longues de leurs misérable vies, j'imagine... Et quand l'aube pointait, je plantait enfin mes canines dans leur cou pour me nourrir. Souvent la victime mourrait après cela, ayant perdus pas mal de sang durant mes sévices nocturne. Les survivants souffraient encore après mon départ et suppliaient presque le bourreau d'achever leurs souffrances au plus vite. Et moi, dans le public, j'étais satisfaite. Je regardais mourir mon repas puis m'en allait. Sans jamais regretter les souffrances que j'avais infligé.

Bref assez de blabla... Nous allons directement parler de ce que j'ai fait à l'antiquité. Tout ce qui se passe avant est, au final, d'un tel ennuis, que rien que de penser à l'écrire, j'ai le sentiment que je m'endors... Antiquité donc. C'est à ce moment là que je suis partit pour découvrir le monde. C'est aussi là que j'ai découvert mes pouvoirs... Je me suis installée en gaule après avoir visité ce que vous appelez France de nos jours. J'y ai passé quelques années, m'exerçant pour parfaitement contrôler mon pouvoir. Les guerres de l'époque étaient propices à mon entrainement car il y avait beaucoup de mort en ce temps là sur les champs de batailles. Aujourd'hui c'est peut être pareil mais il y a moins de guerres... Et je maintiens mon niveau en travaillant dans des cimetières maintenant.

Par la suite je suis allé en Espagne puis en Italie, à Rome. Je m'y suis installé alors que César régnait. La fin des gaulois allait bientôt arriver alors que les romains prenaient possessions de toujours plus de terrains... Je vécut une vie plutôt agréable, continuant mes agissements nocturnes. Ca ? Je n'avais jamais arrêté, ne croyiez pas au père Noël, hein ? En ce temps, j'épousai un sénateur romain. Ce n'était que par intérêts. Et d'ailleurs, je ne resta pas mariée longtemps... Disons qu'il périt assez vite...

Les années passent... Elles filent sous nos doigts. Mais pour moi, elles n'affectaient pas mon physique. Il fallut alors songer à changer de vie, quitter Rome... Je n'y éprouva aucun plaisir, ce qui m'étonna en fait.. Au final ma vie à Rome, j'y avait pris goût... Je m'installa à Florence, une ville qui me plût assez, quoique j'eus longtemps le mal de Rome. Quoiqu'il en fût, je finis par m'y intégrer mais... En ce temps là je connu la tristesse, la mélancolie. Disons que je m'ennuyais assez, et penser que j'avais encore l'éternité à vivre me faisait un je-ne-sais-quoi de désagréable.

Être vampire est ennuyant, réellement. On a l'éternité devant nous et on ne sait trop comment l'occuper. Personnellement, cela m'affecta beaucoup. Je vivais à Florence en ce temps là, et plusieurs fois je fut tenter d'abréger tout sa. Enfin, de quitter tout cela quoi. De mettre un terme à ce délire. J'enviais les mortels. Chacun de leurs instant étaient embellis par la suppositions qu'ils puissent mourir l'instant d'après.... J'en fut pu cruelle encore dans mes châtiment nocturne. Mais où est le mal ? J'agissais avec des criminels, des assassins... J'étais presque une justicière. J'ai dit PRESQUE. Mais oui, je ne touchait pas aux innocents. Ou quand cela arrivait, je ne les faisait pas souffrir et ne les tuait pas. Vous voyez ? Je ne suis pas salope en pleins quand même...

Je ne sais trop comment commencer à raconter la suite de ma vie... Disons que même en ayant une excellente mémoire, il y a des choses que j'ai choisit d'oublier. Soit parce que c'était insignifiant. Soit parce que je n'en avais rien à faire. C'est pareil. Oui. Je sais. Mais évite de me contredire s'il te plait... A moins que tu soit légèrement masochiste...

Je n'ai pas fait grand chose de ma vie en fait, contrairement à ce que l'on pourrait croire. Ou c'est moi qui croit avoir fait peu de chose, tant la longueur de ma vie m'effraie. Raconter toute mon histoire est long ... Mais voyez, je suis gentille, je vous épargne certaines partie de cette fameuse histoire... Ainsi, nous allons en arriver directement au Moyen-Age, si vous le permettez...

L'époque de la chasse aux sorcières fut la plus dure que j'eus à affronter en vérité. Mais cela ne m'empêcha pas de continuer à rendre visites à mes condamnés à morts... Je faillis cependant être arrêté plusieurs fois... Sauf qu'à chaque fois je réussis à me tirer d'affaire. J'eus de la chance, j'avoue. Bref, je disparaissait de mon lieux de vie, en recommençant une ailleurs. Seulement, on me prenait pour une sorcière car je n'était pas marié et n'obéissait pas à un père. Les règles étaient strictes en ce temps là... Je finis donc par épouser un homme assez beau et riche, prétextant être orpheline et avoir alors grandi au grès du vent. Il m'accepta, sans même se soucier de me demander une dot. De cette union, je n'eus pas d'enfants... Pas plus que les suivantes. Les gens me regardaient moins bizarrement, quoique...

Je disparu finalement au bout de cinq ans, pour changer encore une fois de lieu de vie. Je n'avais que cette solution après tout. Puisque je ne pouvait pas expliquer que mon physique ne change pas et que mon doux visage garde la douceur de ses vingt ans. Je me maria à nouveaux. Et encore une vingtaine de fois en ce fameux moyen âge, changeant de lieu de ville souvent. Jusqu'à ce qu'arrive enfin la renaissance.

Ma beauté m'ouvrit les portes du palais de François premier. Je pus alors vivre dans le luxe mais comme la libération de la femme n'avait pas eu lieu, il me fallut à nouveaux prendre un époux. Je devient alors Marquise. Mais sa, on s'en fiche en fait. Mon époux ne fit pas long feu. Je ne le tua pas, il mourut en guerre. Lorsque cette information nous fut donné, François 1er ne mis pas longtemps à me faire d'audacieuses proposition. Personne ne l'appris jamais... Mais la Marquise que j'étais devenue à mon mariage deviens l'amante du roi de France. Ce statut me plaisait assez, surtout que je fut assez gâtée en cadeaux à cette époque.

Je disparu à nouveau, quittant la France pour m'installer en Autriche, à Vienne. Je continua mon manège plusieurs fois, m'installant au fur et à mesure dans chacune des capitales d'Europe. Et les années passèrent ainsi à fuir tout les dix ans environs pour préserver le secret des vampires. Je continuais mes délicieux massacres nocturnes. Et me rendais aux réunions vampiriques aussi. Évidemment, il m'arrivait de revenir chez mon père. Lui je l'aimais et le respectais. Oui... Il est rare que j'aime quelqu'un. Mais lui c'est différent. Il est mon géniteur, celui qui m'a fait venir au monde et m'a rendu aussi pure que lui.

Alors que Louis le 14éme était Roi de France, je me réinstalla en ce pays, alors qu'une certaine Elerinna von Habsbourg, alors connu sous le nom d'Élisabeth duchesse d'Innsbrück, se hissait au rang de favorite en titre, évinçant Madame de Montespan qui elle même avait évincé Madame de la Vallière. J'ai rencontré cette fameuse favorite. Une fille tellement trop mièvre et douce. Je ne l'ai véritablement pas aimé. Elle était une trop bonne personne. Bientôt elle quitta la France et peu de temps après on annonçât sa mort dans les journaux. Moi... Je savais qu'elle avait simplement fui. Je savais qu'elle était une vampire, je l'avais senti. D'ailleurs, je ne tarda pas à fuir moi aussi.

La suite de ma vie fut une succession de fuite. Et de mariage. J'eus une enfant mais elle ne survie pas, trouvant la mort au septième mois de ma grossesse. Cet évènement me procura un énorme chagrin. J'aimais déjà cet enfant, l'idée d'avoir une autre moi... Une enfant qui suivrait mes pas et serait peut être comme moi plus tard... Quand je me fut calmé, mes agissements nocturnes redoublèrent d'intensité. J'extériorisais ma peine de cette façon, jusqu'à mettre totalement remise de ce triste épisode.

Ma vie continua inlassablement, quoique moi je me lassait. Je trouva finalement un moyen de la pimenter, peut être...Partir au Japon. C'était un pays que je ne connaissais pas et visiter Tokyo serait peut être un moyen de remédier à mon ennuis et qui sait, peut être prendrais-je à nouveau gout à ma non-vie ? Il se trouva que je m'adapta très bien et deviens même la cheffe d'un clan de vampire, exclusivement féminin, dont le nom était Muteki. Notre particularité ? Nous avions toute le pouvoir de nous changer en brume...

Ma vie pris bientôt un tournant inattendu alors que je découvrais avec joie qu'un petit être grandissait en moi, depuis peu... Fils d'un vampire habitant également Tokyo. Déjà, je me promettais que cet enfant vivrait et ne mourrait pas, comme le premier. Aujourd'hui, 17 Aout, je suis enceinte de deux mois. J'espère que ce sera une fille, digne héritière de la Reine que je suis.



Vous

Prénom:

Christelle

Age:

18 ans bientôt x)

Découverte du forum:

Co-Administration

Avis sur le forum:

A ton avis ? x)

Présence 10/10:





Spoiler:




Dernière édition par Persephonia M. Caïn le Mer 18 Aoû - 15:17, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
Hamako T. Namiyo

Hamako T. Namiyo

Messages : 16
Date d'inscription : 16/08/2010

Persephonia M. Caïn, votre cauchemard.  Vide
MessageSujet: Re: Persephonia M. Caïn, votre cauchemard.    Persephonia M. Caïn, votre cauchemard.  EmptyMar 17 Aoû - 20:13

Bienvenue Ô ma reine adorée HA HA
Revenir en haut Aller en bas
 

Persephonia M. Caïn, votre cauchemard.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Between heaven and earth. :: L'administration :: « Une histoire – Parle moi de toi.-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit